Le Parterre
Parterre ensorcelé, fleuri de tristes rêves,
Où souffle un vent évocateur de maux sans trêves,
Un vent triste et bougon qui, sur les pauvres fleurs,
En guise de rosée, épand de larges pleurs ;
Et sous un ciel éteint, sinistrement tournoie,
Imbu de ton relent, ô ma défunte joie ;