Page:Gustave Flaubert - Œuvres de jeunesse, II.djvu/146

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vite, et alla porter jusqu’à Mathurin le souvenir des dernières saveurs de son existence et réchauffer sa tête couchée sous la terre.

On ne vit plus que les restes de deux bouteilles, ruines comme les autres ; elles rappelaient des joies, et montraient un vide.

Vendredi, 30 août 1839.