Page:Guttinguer - Dernier Amour, 1852.djvu/19

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Je t’aimerai comme tu veux,
Ô cher ange, aux célestes yeux,
Que ta tendresse se rassure,
Ton cœur est bon, ton âme est pur,
Levons nos regards vers les cieux,
Goûtons les biens que la nature
Répandit aux terrestres lieux.
Va, les bons cœurs sont vertueux,
Et Dieu sera clément pour eux.


Séparateur