Page:Guttinguer - Dernier Amour, 1852.djvu/4

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jour. Le caractère de ces dernières élégies nous semblerait justifier ces vers de Lamartine :

 « Ah ! que dis-je ! on aime à tout âge,
Ce feu durable et doux, dans l’âme renfermé,
Donne plus de chaleur en jetant moins de flamme,
C’est le souffle divin dont tout l’homme est formé,
 Il ne s’éteint qu’avec son âme ! »


Ulric Guttinguer.


Février 1852.