Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/118

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97 A — J Iicvvoura Le louer dignement, je ne puis le faire I j A Mais maintenant, ma soeur, que nous sommes ici tous deux Je te donnerai un conseil, si tu veux m’écouter. En ce palais, tandis qu’Arthur est hors du pays ·, ’, l’e plait »il de rester vivre toujours ’ ? J’ai à Lanmeur, tu le sais bien. Un palais tout neuf, paisible et convenable. Si tu veux nous)’irons, en atteyndant le jour Ou tu dois être mère ?, J ’I’1·épl1îne ~ A ’ Bonne chose serait celle-la ! Je suis fatiguee et malade, mon frère et je cherche la paix lit je ne la trouverai, je pense, jamais en ce palais-ci Allons donc, quand tu voudras ! Oui, cela vaut mieux !... Mais viendra-l ;—elle avec meigmon frère, ai ce palais Ma suivante Aziiis ? A ’ Kcvvouva-Elle et tout homme O Qui te plaira, ma sœur ! Ton désir est le mien I ’ A Tl’Él)llîll€ K Tu es bon, mon frère ! Je vais ordonner Que sans retard toute chose soit appretee ; ·, Au revoir, Kervoura I ’ Kevwmva’J Au revoir, ma sœur ! Et sêchez vos larmes, je vous prie, Heine ! (ll embrasse Trephine et celle-ci s’en va). ¤ouziEME scène ’ J Kevvoura, seul — E (Il tait un tour ou deux sur le théâtre, sans parole, le visage (lil ? GL SH\lV2gG)· Quel beau coup il Le demon Satan, sur ma foi J |·’alil, tout 51 mon depuis que je suis en Bretagne, Nouvollement de retour à Et en Angleterre aussi Toul ; m’a bien tourne l J Le vieil Abacarus sera guéri j Pair le remède que cherche l’l1orrible sorcière. Il Iltllillll Ilillldlït pasparexemple, resteren bonnes ante trop longtemps ! Vici cssc, ou autre maladie, lui feront bien mourir ’ l)ovi-uis-je, moi, les aider un peu !..., · 7 J A