Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/126

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(· î05 · I Donne moi la main, croute ! ll t’est grand temps de te lever J’e1üte11ds Ger-Orjal 1à-bas, qui nous appelle (Il’prend dans la main de Fianim et celuî—ci se lève avec peine et traînant les jambes.)Flaumu Celu1«là ne me plait pas I Roll (se moquent) Mon âme, quel dommage Z (Dur et sauvage) Quand tu ne lui plairas pasi les choses iront mal Pour toi, grand imbecile I Tais-toi et obeis ! (Test sage Et prends garde de t’attirer des 1’llCSâlV6lll-LlI’(;’S I (Flmmin ( Tu dis vrai, vieux Hell I Dieu veuille que je ne boite pas Roll · Tiens-toi debout, tais toi net, et ne bouge plus ! i, (On entend dans les coulisses Ger-©1·jal appelant : << Roll, Flamm S >>) (nsuxnèuviesoàmz t C ’ Gm’·—62~jaZ, Rol ; et Flamm · V (En arrivant sur le theàtre il crie à haute Voix) Gar-Ovjal à Roll, Flamm, fils de la potence, ou etes-vous tous deux Hull il Ici, Gar—©rjal chéri, pretsà ecouter, Nos oreilles toutes larges, votre discours ; r ( Et a faire tout selon votre ordre, . Flamm (apart) · · V Je n’ai pas dit cela !... Ga1·—Orjal (Approche ici un peu Que je vois bien ton nez ! Tu es soul-aveugle, ou boiteux ï ! ( Flamm (tremblant de plus en plus sur ses jambes) · Soul Moi Nullement ! Perclus, je ne dis pas Le vin aux environs de Lanmeur ne vaut foudre rien du tout !