Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/128

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107 Gar-Orjal Damne, Flamm-at1-Gourdiii, quand je te vois en cet état, Ce n’est pas sans une raison l Le vin, en effet, De même que le cidre, quand ils ne sont pas frelates, Ne font de mal que lorsqu’on les boit, Comme toi, fils de chienne, par trop grandes ventrées I La l Tu ne peux plus rester droit sur tes quilles Y (Flamm tremble davantage) Tu trembles fort, garçon I Le vent cependant Est aujourd’hui sans t’oree... ’ A Roll Oui, mais ce pauvre là Est aussi sans force devant une bouteille. Un mauvais buveur est Flamm ! Gar-Oirjal Et toi, je pense, Bochois, Un buveur de choix ? ’ V Roll Peut-être, vpeut-êtrel... Quand il vous plaira de régaler, nous le verrons ! Gar-Qx-jal p Plus tard, garçons ! En attendant, à Lanmeur, Il ypaura grande nouveauté, sans tarder longtemps, , Et Je viens de la part du grand prince Kervoura, W Votre maître et le mien... Flamm, à, part V V A Que le diable le pende ! Gat•·O01·jal · Que dis-tu ? parle franc et clair tout de suite l M Flamm, avec un air étonne t Moi, je ne dis rien ! » o ’il Roll V R K Et après-Gar-Orjal Q p Puisque vous êtes venus nous trouver par les ordres, de Kervoura Que lui faut-il ? dites vite, quoi t Gar-Ovjnl  » ll vous ordonne (daignez m’écouter I) a De faire attention, de vous garder de vous enivrer, D’être prets a obéir, dès qu’1l vous appellera, , t Nuit et Jour, et peu importe ce qu’1l demandera". ’*