Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/130

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’lee ’ Flamm i \ Bon l Il serait malheureux de boire une bouteille ? Roll Paix, feu et tonnerres ! Pas un mot, et ecoute bien ! Gav-Orjal En attendant, Kervoura veut savoir A quoi vous etes bons, . Un certain fait Peut se passer ici, qui contraindra chacun A manger son ecuellee sans se plaindre, . Il y aura du mal, peu-t—(·tre, à mener les choses a bien, Mais notre maître paiera de façon convenable, Ceux qui le serviront avec art et obéissance...., Elles te plaisent bien, ces paroles, Je pense, A R©ll-aux-Farces ? R«, >ll Oui, absolument ! V GRI’·ol’§ 3l ’ A A Et tei, Flamm-au-Gourdin Elles te plaisent aussi ? · Flamm Dieu veuille quej’aie encore, Une bouteille de vin vieux a boire l Mon gosier Est si see que de l’amad©u, et faire un discours Me serait bien difficile l Cependant je dis : Roll est mon conseillers. Je ferai comme lui 1 Gar-01*jal Bon l Dis-n2oi maintenant, Roll, quel metier T’a été enseigne. Qu’es-tu capable de faire ? Roll ’ Dans ma tête je trouverai, G’ï1l’—©l’lîÉil, quand je voudrais, Cent beaux petits trucs qui valent or et argent., p V Avez-vous entendu le tour du << vieux-ehene ? » Gar-Gxejal Au bois de Kerhuelvar ? Oui, oui ! Un autre, mon homme Roll Voici l Un jour, en ville, le heraut de Penn-ar-C’hoat Vint publier : « Lesarchers a pied, Les archers il cheval marchent dans la campagne Après une mauvaise bande de voleurs de pommes.