Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/140

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Eu eutendemt ce que veus Clemeudiez delle, · Me i’z11 : s£1ltScÉuli’ilQO[’6lll®, et lgiiglieiiiixs Age un suis clemjmiïl ; Sl elle llC(li1lQ’i1Oi’àllÈ]>£)>%Ol)LÈli’ê’1 vos r>:·4,11’esl lau preelie feat pur mzmi pur iiieuzuierzs. lil Je ereis, s«·iu-rieiii·’que lu ueurrirze serai l·îes peeLueuse et ebeismute, uussi rleuee q n’une brebis

Kervoura

Bleu, tres bien, G~u- »©rjul ! EL le Sî’\}§ ’l)··l-Glllillë ? (;âI’·ol’Ãâ\l

Que de peine pour venir il bout de eeile-Ii1 î Gill" C’est une felïiïïie szxvzmic et (]l’iîllÃÃlllrllit Dieui lili, eu eiileurluiil, votre ilesir, ile pvurqelle ti-eu1b’u1t... Ce 11’e\uit pzisqsaiiis l’. !l$<’>l1i uv<>ueA—ie ?èei ; ;·ueui· ! (lelui que veus dï3ill.èllll, liÉ%i puriui les eriuie »—s Est appele, je ereis, iluus toutes les lei«...

KERVOURA

Peixi Gar Orgal ! Je ne veux point entendre de reproches De lu peut, de la part de personne.. Meu désir est ma loi ! ilzqsellexei eelu ces un i<>ui-rl’luu meu lieiuuie É Cette femme est enclin à obeir ?

Gar ORjal

Je ne sais !

Kervoura

N'importe ! Ca me regarde, .. Toutes deux sont là ?

Gar Orjal

Oui, elles attendent que votre bon plaisir soit De les appeler peur entendre prince, votre mandement

Kervoura

Dis leur de venir ici !

(l(«·i-v< ; mm slisseuit sur une elriuise. l"·iix«l : i.ut ce temps Gai’—©i ?jel surb et ’ievieiil uiissitifii, uvee lit ï1’,)ll1’I’lC—tàCl, lu, snge-ieuunej.

sixiiïwiz scène

Kewzroumz, Z/xii/aoe, nv·/«·<, >, M.s*«wy](>-/mzirize, (; iC}“—O}’i(là A un yiwia wi /l)°)’Ãl}l’(Ã’.’

Kervoura, sur sa chaise

Appreeliex, ueurriee Vous avez ei’ileu<, lu, Je pense, que le Reine est