Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/158

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elfemoum et GCH“·G7’]’Cl, Z, y S — - J Gar-O1*jul, II’: [ I

Etes-vous vendu à Lueii’er, — Seigneur ? Toute chose arrive selon vos désirs ! · d Kttl’\’olIl’âl ’ > LL ·, ,

Pour vrai, Gar-Orjal, se plaindre serait inconvenant. Je n ai plus qu’a attendre pour voir l’eii’et ! ’ (iai ?-Unejal il ut, ·

Vous ne restez pas longtemps en peines. Voici venir Un nomme que j’envoyais à Carhaix-, D Bonne nouvelle, je crois, il vous en donnera, Seigneur ! Regardez-le, sa bouche est ouverte parle sourire ! — W ’ GNZIÈME SCÈNE " ~ ’*-J

Ifereotwœ, Gm*—Oi7ctZ, Jean-Guemlle (Jean-Guenille approche doucement- et salue bas) ! (E, Keûvouira i’ V

Et bien, mon ami, comment ont marche leseliosest dr ’ J•ea n==·Guemlle

Bien, très bien, Seigneur ! Dans un chemin detourne Nous trouvâmes, mon ami et moi, la demoiselle. · ; Personne alentour, et mieux, les maison s’étaient loin. · Oli ! elle ne dura pas long, je le gure, la danse ! ;, ig Je trouvai en ma poulie un bout de corde Et en elle soigneusement je tis un nœud coulant. Et d’un coup, lsrilg, krak, le eou, de la, pauvrette Fut enferme par nous dans le nœud det ! la eorde. Deux « tirades >> seulement, Seigneur, sur ma parole, Et voila la chere fille tombee ai terre ~ ’. Ettouffee et morte, sans un eri ! Mais sur son doux visage, Yepouvante était peinte. O Dieu, eber seigneur ! Avec quels yeux Elle nous regardait ! Mon sang seiglace ! W, Quand j’y repense ! Je ne voudrais pas, je lejure, Recommencer autant, E1LlI’3lS—, ]G les biens