Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/162

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in Je ne sais pourquoi, Gar-Urial.(ie~ te~ le dis à toi) Par ses paroles dures Je me trouve gene, . ’ A Gav—01·jal A Les morts, mon maître, ne parlent pas, Kervoura · Les morts parlent souvent, mon ami I, Que de fois nous envoient-ils des songes véridiques Qui font 51 nos coeurs trembler d’angoisse ! Oli combien épouvantable est ma destinée 1 Mais qu’est-ce que, j’entendsî ! (Gar—©1· ]al vn, au fond du théâtre et dit) p, La nourrice, je pense, Avec un petit enfant, arrive vous trouver, , p Kevvouva [à part] Prends courage, Kervoural Sur ton visage une couche d’acier, v Apprends à souffrir un instants ! Ton supplice ne sera pas long ! La nourrice, un enfant dans ses bras, arrive] ». ’ TREIZIEWIE SGENE Kervoum, G@7’·O7î]·CZZ, les wimwce et un W petgt en/’cmt, , Kevvoura r A Et bien, nourrice ! ~ A ’. ’Ã. X 1,43 11011Pl"î(î€ Dieu, quel bel enfant I Je ne crois pas qu’il y ait un autre en Bretagne A venir au monde fortggras et beau comme lui ! A Regardez donc, Seigneur, regardez, le un peu ! Elle découvre la tête de l’enfa, nt en s’approchant de liervour :1], ’ il · · Kevvouva dur et s’éloignant 1 ’ Bien ! Bien ! Plus tard (Et ma sœur Trepnine » Ne l’a-t-elle pasvu ? , " La nourrice A A, ’ ’ Vous l’avez défendu ! D’ailleurs elle était si faible et si fatiguée Qu’allonger ses peines eut été trop cruel !