Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/164

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M3 Kcvvouva A V ’ Merci, nourrice ! Allez maintenant, vous prie Gar-Orjal vous enverra au lieu que j’ai indique La vous devrez attendre IDO1] o1·dre... i, Faites du bien a l’enfant ’ 1 La nourrice Oh ! Soyez sans crainte ! - A ’ Des ai présent je l’aiine comme un enfantin moi ! 1 Et le bien élever je mettrai toute ma peine. (lia nourrice sfèloigiie en embrassant l’entant) Kevvoura v Hate-toi vite, Gar-Orjal t.Vai des choses utiles A te dire t 1 Gar-(lvjal · q Oh ! Je ne tarderai pas ! Ii s’en va après la nourrice et revient aussitôt], QuA·roi=aziÈiviE scène, Kcwowïz, Gm*—O17aZ-K€l’\’€)UP&\ V ’ As-tu envoye, comme je te l’avais dit, q Les deux nouveaux domestiques au port de Leodet ? (}a1’-Ovjal-Oui, Seigneur, et dans le bateau tout est pret Pour deplier les voiles, des que vous l’ordonnerez, J’ai en plus embauclioqquatre bons matelots, Car, quoiqu’en’CllSGf1tl*’l(11”11H’l et son ann le Roeliois, Ils ne sont point gens de mer... W 1 Kervouva Tu astres bien fait ! Demain, tu entends, si le vent est bon. P Le vaisseau quittera le port et la Basse-Bretagne i * Pour traverser la IY1©I’profonde et aller en Irlande À Berceau de Trepliine et le mien 1 · Cherche un domestique et Tenvoie au Leodet t, iitt Pour envoyer vite mon ordre aux matelots M Kervoura U V J’ai entendu, seigneur Qui donc est cette femme,