Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/176

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155 ” ’ J J Tvéplxîne d il J Où ? Kevvoura q ’, ’ A A Câfhaîëi, Je ne sais ou..e. Aupres du château, Je crois ! Tx-éphi¤e J J Tu mens, tu mens encore, . Kervoura ’ Je ne dis que la vérité Je vois bien, ma soeur, que tu restes incrédule., p Comment ne serais-je pas peiné et malheureux Tvéphine Comme autrefois, moa frère, je voudrais pouvoir J Tant je t’aime, mettre ma confiance en toi, . Maintenant, hélas, j’ai beau faire, je ne puis !... Kervoura, mon cher frère, que t’ai-je fait ? Ou est-il, dis, mon petit enfant ?, , ’ Pourquoi me la1sses-tu si longtemps dans la douleur ? Kevvouva V J Je t’ai dit tout ce que je savais ! Tvéphine. J Et la sage-femme ? Je voudrais la voir, Pour lui demander où elle a enterré, Le corps de la petite créature". Ou est-elle allée îë Kevvoura Cette sage-femme, ma soeur, est morte ! En revenant à Rennes, son voyage bien réussi, Dans un bois profond, selon ce qui m’a été dit, Par une bande de voleurs, hélas, elle a été assassinée ’ Voila pourquoi je ne puis affirmer sans me tromper J Ou elle a enterré le corps, . · Tréphînc Kervoura, mon pauvre frère, tu n’épouvantes, Quelque chose de mal, je crois, tu trames ’ Contre moi ; mais Dieu, plus fort que toi Sera mon défenseur, mon appui, en toute occasion, Tot ou tard luit la vérité ! 2 Et Azilis ? Ou est cette ûlle ? eeiieia Hl’î11[Ili,11È bien, et Je ne la vois plus ! r A »