Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/188

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l 167 Ecoutez mes paroles I Vous n’en aurez nul regret ! ’ Vous voulez voir encore une fois Trephine Etibien, tres bien vous faites ! Quand elle viendra Vous e1’11brâSS©i’ Soyez pour elle comme vous i’etiez autrefois Bon et aimable, . Retirez de votre front Les rides qui y sont par la douleur creusées., · Mettez votre attention à ecouter votre épouse Et si vous vous rappelez les paroles de Kervoura s Comparez les a celles de Trephine l ’ Elles seront dissemblalsles je vous le jure mon Roi Sur Lien des points, utiles cependant. À V Ijun dit vrai, et mensonges l’autre... ’ Avec qui est le tort, avec qui est le vrai, Roi Dieu vous le montrera ! Confiance en lui touiours Et confiance en moi aussi, o prince honore Tantot la vérité éclairera votre coeur., Dieu nousaide I Je vois la Dame Venant vers vous l Prenez votre temps V Et faites lui, s’il vous plaît, le meilleur accueil Arthur Je vous oheirai !... Vous verrai-je encore ?, Ga1*—Oirjal Oui, s’il plaît à Dieu, et je le crois fermement demain ! t (Gar-Orjai s’en va par un cote ; tiirèpiune, faible eh sans force, arrive par un autre côté.) HU¤TiEiviE scène J ’ · Art/ww, Trap/zine ti, · V » Trèfinxe Je vous salue, Arthur I O mon Roi aime J J " En attendant votre retour, que j, êlL31S soucieuse ! ’ 1 Mille mercis à Dieu ! Maintenant, au moins, Vous resterez toujours près de votre’Frephine ?, · A1~tl1¤u•, troublé. ’ Je n’ai d’autre désir que de rester en Bretagne ! ’ Un baiser ma chere épouse ! (li l’embrasse) Mais dites, notre enfant ? Car vous etes mère, MadJme ! Oh ! ne me laissez pas en peine !