Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/194

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1*73 Q ’ « ~ ’ Avtlxuv · Comment le saurai-je ? ’ G2u~~Ox•jal. A à En continuant fi mettre votre espoir en Dieu A En continuant a être toujours sur vos gardes En appelant les gens de votre Cour entendre le procès. Entre la Reine et son frère Kervoura ! Arthuv J’ai peur, mon ami, que cela ne serve a rien De dévoiler si hautement devant l’univers p Ma peine et ma douleur !-A Gar-01*jal, Vous n’avez rien a y perdre ! Q, ’e D’ailleurs puisque vous voulez savoir la vérité-Il faut chercher le moyen de la trouver". A 3 Rassemhlez mon Roi, dans la grande salle du palais " Quiconque a un rang ou une charge dans votre cour Pour porter un jugement loyal dans le débat soulevé t Entre le prince irlandais et sa sceur, votre épouse !, Arthur Tréphine ne trouvera aucun témoin, mon ami, En sa faveur !..., ~ Gar-Ovjal A A A Dieu est un témoin véridique Et il saura bien, quand son heure sera venue, Eclairer l’esprit d’Arthur le Grand, ^ Et donner aux juges le pouvoir de démêler · Ce procès de la facon la meilleure ! Et de plus, Tréphine trouvera peut-être Quand elle y pensera le moins, des témoins pour elle ! Dieu, quand il lui plait, peut par un miracle Appeler ceux qui sont loin, donner la parole aux muets ! Avthune A t Que tout soit fait comme tu le demandes ! Quand, hélas, pourrai-je savoir la vérité ’ ?... Merci, mon ami ! Tous les gentilshommes de ma Cour. Seront appelés demain dans la grande salle du palais ! En attendant je veux me livrer au sommeil". Je suis bien las · * ter davantage e r e Jo °ra s le...1ésis ’ ’ 1 ui is. ’ Gar-Ovjal, en s’en allant. V, Que Dieu vous garde en santé, mon Roi A Et qu’1l vous dévoile ses desseins dans un reve ! A r