Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/224

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203. i., I t SEPTIÈWIE SCÈNE Les czèletws de la sixièame scène, moins Azîlis el la sage-/emma-Le Graud juge A Que de choses extraordinaires ! Tréphine · Merci au Ciel Qui sait quand il le veut éclairer les coeurs q Et les fortifier dans la recherche de la vérité., -Gloire, honneur, louange et benediction à Dieu. — Arthur Continuons, Seigneurs, et allons jusqu’au bout-Il faut que votre jugement soit sage et juste ! Juge, regardez. Voici deuX nouveaux témoins Qm approche1’1t... Qui sonteils ? Demandez-leur ! (Tandis qu’A1·thur dit res paroles, la nourrice et ’1’remeur arrivent au milieu du théâtre. Trémeur est habille en blanc, et harnache comme un chevalier) qe D HU|T|ÈME SCÈNE h à Les ctctemes précédents ’ La, Notwrice, Ti-e’mcws Le Grand juge Approcliez, jeune homme, et vous, femme, aussi Z Que pouvez-vous dévoiler de nouveau ? Ce procès, helas, est long et difficile Et depuis son ouverture, bien des choses étonnantes Q Nous y avons vues... Dites-nous sur serment-La vérité, rien que la vérité, . s Dieu vous entend ! Tot ou tard t —. Les faux témoins par Lui sont toujours chaties 1., . La nourrice Je vous supplie, Seigneurs, coupez ces liens ! La Reine de Bretagne enchamee dans cet état il, Trephine persecutee comme une criminelle A cause d’un prince rempli de perversité l · Honteuse et effrayante est une pareille chose, je le dis, Et regret vous aurez tous d’avoir été cruels · » Envers une princesse si sage, si convenable, Qui n’a jamais cherche qu’a taire le bien !... « ·, G