Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/26

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Deux hommes 66 CO7“7’Z€—CZ, (Y1)])€Z, eleum tromjielftes, un hem, Mg ? pgttpgg A à Li-: Hê>l’3[lt

d Ecoutez mes paroles avec attention, Bretons ! Le grand Roi Arthur (partout qu’il soit loue) Vient]usqu’a vous, sa Reine avec lui, Trephine, une princesse belle parmi les plus belles Faites leur réception comme il est du, Montrez combien ils sont chéris par vous tous. Puisque tous vous etes sujets, fidèles et droits de C(Eul·7 Puisque vous avez pour notre bon maître un amaay Wat ? Ne restez, cheres gens, sourdsni muets... t Faites qu’on entende sur mer et sur terre Toutes vos voix, tout à Vheure, criant ensemble, u" U’Vt§ ’i£i’tii’u1’°i’<î (?1’àl’11’tXIi, Vi :V(§ ’ 1TOr’LTCÉ’ ÉÈt51’11’cî:’ »’ Un gentilhomme (au milieu du perlpta)-Q Selon votre ordre il sera fait, Seigneur, Et si nous aimons Arthur, tantôt vous le verrez. A la Reine aussi ovation par nous sera faite, r Qu’elle soit la bienvenue parmi les Bretons !... Le Iléraut ’

Bravo, hommes ! Allez maintenant de chaque (tata de la placg “ Vous ranger convenablement, gentilshommes, BQYSHHS, t Vieux, jeunes, petits, grands, pauvres et riches ; Pour recevoir Arthur et notre Heine ! A V (Le heraut se place parmi le peuple, droite, et tas tt-ampattas gt grauclie.) «

Pendant qu’ils s’en vont, les cloches et les trqmpattas s©aaaat On V entend derrière les murs du palais, crier : Vive A1tl1U.l° le Grand ! Vivela Reine. S Ces cris approchent et deviennent peu à paa plus distincts Ct plus forts.

On voit la porte d’entreo du palais s’ouvr1r et 1 il’Deux trompettes ;

Le porte-1T: inon, escorte de deux chevaliers, ’i· Quatre écuyers, l’un avec la glaive, l’auti-e avec la boulp, la trot-Slèlllê UVGG le sceptre, le QLIQÈFIÈHIG RVGC 13. COllI’bnng, toug guy un ygtpg,