Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/32

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ii — · · Le peuple Vive Arthur le>Grand y Vive la Reine ! Vive Arthur le Grand ! Vive la Reine  », 1 Un eheî de maison, parmi le peuple ’ Arthur, corps et ame a vous nous sommes jusqu’à la mort A vous, a notre Reine, a notre Bretagne. ’ Arthur ’ Merci, encore une fois, merci, bonnes gens, De votre réception loyale et digne., , Je veux, a mon tour, crier a voix haute : Gloire, honneur, felicite et paix ai la Bretagne !.. » A A Tréphine ’, , Et maintenant, Trephine, jetez un regard, je vous prie, Sur ces gens autour de nous assemblés ! Ils sont accourus, Dame, de Treguier, de Léon, " De la Venetie, de Cornouaiileî et même de Rennes Vous envoyer leur salut comme à leur Reine". ’ Tous ils se fieiit vous et ai leur bonte Il faudra, ma femme, les aimer de coeur, Car tous sont braves gens, courageux et sincères Vieux, jeunes, petits. gI’andS, gentilshornines, paysans, Hommes de mer, soldats, riches et pauvres, A Tous sont vos sujets, et vous leur devez, De votre cote, Trephine, un même am©ur, ... Tréphîne, (debout) J’en garderai bonne souvenance, seigneur, Et, du fond de mon coeur, comme vous je les aimerai I Arthur. V Venons maintenant au palais, reposons-nous un instant. Trêphine Venons donc, mon Roi, puisque tel est votre volonté !*V€/’¢\îV¤- Le peuple s’en« va par les deux côtes, en criant 2 ai Vive Arthur le Grand ! Vive notre Reine », De plus en plus doucement, à mesure qu’il s’éloigne. Pendant cetemps, le Cortège se range sur la place publique : il’Deux Trompettes, ,