Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/60

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39 Envoie a ma maisons de paille ce vieil arbre de chene, Bien froid est le temps, et c’est un plaisir de se chauffer Quand est couche le soleil, auprès d’une flambee de bois. » W ’ » « Puisque tu par les, dit Jean, si doucement, si convenablement · Jetons ce vieux chêne dans la charrette et sans retard, Allons à Kerlxuelvar.... Le Seigneur peut-être Trouvera que j’ai été longtemps a faire ma tournee, . >> — « S’il veut gronder, petit Jean, je le refroidirai l » Et n’est-ce pas un beau coup celurla ? Q Kervouva En vérité, Je n’aurais jamais pense ai cela Z J Prendre charrette et chevaux de l’homme que tu avais vole Pour te porter ta proie a ta maison.... p Roll l « ~ I · Vous êtes étonne ? ·. Bien plus beau fai l’ait... Mais je vois la-bas Un bon me de visage dur vers nous venin, . Qui de la foudre (ri) est »ce Kevvouva Qu’est-ce queça me fait ? Roll L Bien à Celai vous regarde y Et s’il essaye cependant il De savoir qui n oussommes tous deux. que dirons-nous ? J Kervomra Dis ce que tu voudras 1 Roll Seigneur, entendons-nous Q Ce gaillard, je crois, est un terrible poztmm Et sa trique est longue et grosse comme un pillier ll n< -us attaquera, la chose est claire, Et si nous ne nous aidons, jolisera le coup.... ’ Kevvouva Vrai\tu dis, mon hoinme... J’ai confiance en toi Voyons donc comment tournera l’incident (1) Qui diable, M4 V 7 à V 7 7 il rr 7 7