Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/82

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A 61, I Et toi, sorcièréimaudite, lu ferais sans vergogne Tout ce que tu as dit. ? · · p ’. La Sûrcière ? Bien plus encore, s’il le fallait il Pour être roi et gagner une épouse Jeune et incomparablement belle comme la ]7(?7’H’L—]Z67“¢:’2’ Du pauvre Abacarus, bien des gens tet ce n’est pas étonnant, En feraient autant., }, ? Iiervcura. ’ J à C.’est vrai, et cependant, }. - i j. ~ La Sorcière Et cependant, mon garcon, assez la-dessus I J. Coeur de pouleen ta poitrine j’entends battre l j Kenavo, Kervoura l A J q p Kervcura J Attendez, je vous prie ! Toutes ces horribles choses me bouleversent le coeur. ’ La Sorcière Tu ne seras jamais, je crois, qu’une petite colombe. · Va filer, petit garcon, reste près de ta soeur, Et ne cherche jamais plus à être sur terre Guerrier, 1’1l l’©l·..’BlG11È©È Abacarus. = ’ Offrira à un autre moins consciencieux C A Sa ûlle unique, son tronc comme sa couronne. A p r’V liervoura (a lui-même) E Bien enchevétré, je trouve, helas mon tissu... î Comment faire ? Reculer, quand je suis sur la bonne voie Pour moi. ai jamais ce serait déplorable E Continuer ma route Mais o crime horrible E Mais et le trône, et la couronne et la fille ©l’Abacarus ï ? Tant pis pour moi à Marchons et coute que coute Gagnons notre procès l Ensuite, nous verrons I t ’ (A la sorcière) La boutique est faite et je vous obéirai, vieille mère ! La Sorcière ’ Joli, joli, j’étais bien fatiguée, je le jure, a t’attendre. Kervonra. — Où chercher et trouver le filsaîné d’un roi ? Un autre ferait aussi bien l’affa1re, peut-être ?