Page:Gwennou - Santez Trifina.djvu/92

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71 SECOND ACTE Une salle au palais sa Roi Art/mr (Quand se lève le rideau, ou voit au milieu du théâtre Trèphine à demi évanouie SUP un fauteuil, Arthur, sans casque et san ; épée auprès d’elle et r¢© !Ht11e èe1’z1Se par la douleur), ’ PREMIERE SCENE

Art/mr et Trap/ame vvll/¢’\D »vArthur Je suis gene, Trephine, je suis bien gene, je veus le dis, Depuis un certain tempë, quand je vous regarde attentivement, Quand je vous vois si faible, si fatiguee, si pale". J’ai crainte de vous voir tomber en maladie l)ll€S-mOl’ 5’jl VOUS plait, a moi votre meilleur ami-Comment pourrai-je reloulr votre coeur, S’il est en mon pouvoir..V©d’G·(1®Sllî’sera fait l 1 W Je voudrais voir votre visage iufatigue et leyeux, Comme il était au jour ou nous fuines maries, , Et ou je vous pris comme ma vraie epo-use... Ne me caohez rien, je w/Otis prie, Trephine Quandje vous vois en cet état Je ne fais que trembler. Dites-moi votre peine, que le cherche aussitôt Des docteurs savants pour Vous guer1r... · Trèphine Arthur, mon cher époux, mAon’maître et mon roi, Pourquoi à mon sujet être si gene ? A Si je suis fatigue etrneigre, faible at pale, ’ Dans près de trois mois le serai encore guerie ’É Dans près de trois mois, 0 Roi de Bretagne Trephine sera mère et vous aurez un enfant ! Arthur C’est vrai V. V Tréphine ’ Je vous le dis l., W ’ ï A Arthur Dieu soit loué \ ’