Page:Haag - Le Livre d’un inconnu, 1879.djvu/86

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Cependant, fiers géants aux grands murs droits et lisses,
Vous montez dans les airs, austères édifices,
Battus par le grand vent pur et vivifiant,

Et quand s’apaise en bas le tumulte des rues
Dans le déchirement lent et grave des nues
Vous voyez l’aube en pleurs paraître à l’Orient.