Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/119

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saient encore avec les Français, quand les Portugais en eurent un grand nombre, ils les avaient saisis, garrottés, et livrés à leurs ennemis, qui les avaient massacrés et mangés. Que les Portugais en avaient tué d’autres à coups de fusil ; leur avaient fait tout le mal possible, et enfin, qu’ils se réunissaient souvent à leurs ennemis pour les attaquer.