Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/216

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le port de Rio-Janeiro un vaisseau aux Portugais : que le capitaine avait livré un de ceux qui le montaient à un chef, nommé Itawu, qui l’avait dévoré ; et que le Français, qui, comme je l’ai déjà raconté, avait dit aux sauvages qu’ils pouvaient me manger, s’y était embarqué pour retourner dans son pays. Ce vaisseau périt dans la traversée ; et quand j’arrivai en France, personne ne savait ce qu’il était devenu, ainsi qu’on le verra plus bas.