Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/33

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retournâmes à notre vaisseau, qui se trouvait à Marin. Nous y primes de l’eau ainsi qu’une provision de racine de manioc ; et le commandant nous fit ses remerciments des secours que nous avions portés à Garasu.