Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/67

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milles, et les autres tâcheraient d’y arriver avec le vaisseau qui nous restait. Le capitaine me garda avec quelques autres pour l’accompagner par mer.

Ceux qui prirent la route de terre emportèrent des vivres avec eux, emmenèrent quelques sauvages pour leur servir de guides, et finirent par arriver à l’Assomption après que la faim en eut fait périr un grand nombre. Quant à ceux qui devaient aller par eau, il se trouva que le vaisseau était trop petit pour les contenir.