Page:Hans Staden - Des hommes sauvages nus feroces et anthropophages, trad Ternaux, Arthus Bertrand 1837.djvu/81

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d’ennemis de tués. Ceux-ci finirent cependant par avoir le dessus, et par brûler le village de Brikioka. Tous nos Indiens furent faits prisonniers, mais les sauvages ne purent réussir à s’emparer de la maison où les chrétiens, au nombre d’environ huit, et les mammelucks s’étaient réfugiés. Quant aux naturels, ils les coupèrent en morceaux, se les partagèrent et retournèrent ensuite dans leur pays.