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- Voulez-vous les voir élancés,
- Cadet, d’Ussieux et Corancez ?
- Contre les auteurs délaissés
- Qui ne font ni bruit ni tapage,
- Cadet, d’Ussieux et Corancez
- Montrent quelquefois du courage.
- Cadet, d’Ussieux et Corancez,
- C’est un plaisir de vous connaître.
- Dites-le, vous qui connaissez
- Cadet, d’Ussieux et Corancez.
- De l’esprit ils en ont assez
- Pour ne pas le faire paraître.
- Cadet, d’Ussieux et Corancez,
- C’est un plaisir de vous connaître.
- Cadet, d’Ussieux et Corancez !
- Ah ! les jolis noms pour l’histoire !
- Un jour ils y seront placés,
- Cadet, d’Ussieux et Corancez ;
- Par eux les Gacons, les Visés,
- Verront s’éclipser leur mémoire.
- Cadet, d’Ussieux et Corancez !
- Ah ! les jolis noms pour l’histoire !
Le Journal de Paris eut même l’honneur d’être traduit sur la scène de la Comédie-Française, dans une de ces pièces à tiroir comme on en faisait déjà, et qui ressemblaient assez pour le fond à ces Revues de l’année dans lesquelles nos petits théâtres font, chaque hiver, assaut d’esprit, — d’autres, moins polis, diraient assaut de bêtise. La pièce en question avait pour titre : Molière à la nouvelle salle,