Page:Hauser - Les Balkaniques, 1913.djvu/81

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Leilah Sittina mirait dans le Bosphore
Ses yeux étincelants comme des diamants ;
Ses seins bombés ainsi que des amphores
Se mouvaient agités d’un violent tremblement ;

— Ainsi donc, disait-elle, ainsi donc, ce soir calme
Est le dernier qu’ici je passerai !
Demain je dois aller dans le pays des palmes
Et des sombres cyprès !