ralité G assignée à une chose individuelle I, et que, dans la conclusion, c’est encore la même généralité G que l’on assigne cette fois au particulier P. C’est donc en réalité le général G qui sert de lien entre les extrêmes, et qui, par conséquent, doit prendre la place de moyen-terme. Or, c’est précisément ce que nous offre la troisième figure :
Nous avons ici une particularité quelconque P assignée à une chose individuelle I par le moyen d’une généralité G. Cette forme ne se trouve pas dans Aristote ; niais ses successeurs, les logiciens du moyen âge et ceux du nôtre, en ont parlé et eu ont fait leur quatrième figure. Sa conclusion est forcément négative ; elle n’apporte aucun résultat et ne donne aucun profit à la vérité non plus qu’à la science. Car nous avons :
C’est-à-dire :