Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome1.djvu/42

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bonne santé de ma mere[1], de ma sœur et la mienne. Je prie Dieu que la vostre soit encore meilleure.

Vostre tres humble et tres obeissant filz,
HENRY.
  1. La réunion de la mère et des deux enfants, que constate cette lettre, prouve qu’elle fut écrite de Paris, avant le départ de Jeanne d’Albret pour ses états. Ainsi, la date n’en peut être placée que dans la première partie de cette année ou dans l’année précédente. Le prince était alors dans sa huitième ou dans sa neuvième année. Son écriture est très-bien formée, déjà du même caractère qu’elle a conservé, mais avec une orthographe plus régulière.