Montelimart, et de quelle aH’ection vous vous employés à tout ce qui
touche le service de Dieu, le bien des allaires generales et conservation de nostre province : de quoy j'ay bien voulu vous remercier,
vous prier de continuer et croire que je ne Youblieray jamais, ettau
reste faire tousjours trez certain estat de la bonne volonté de
Vostre plus alïectionné et asseuré amy,
1587.- 1°' SEPTEMBRE.
j Cop. ‘. — B. R. Fonds des Cinq-cents ag Colbert, Ms. 401. `
[A LA ROYNE UANGLETEBBE-.]
Madame,
Aussy tost que j’ay receu l’avis que mons" de Segur m’a envoyé, de la preuve que me donnez de vostre liberalité et bonne volonté au bien de mes affaires, en occasion si juste et necessaire, je vous ay depesché le s' de Quitry, l’un de mes principaulx et plus coniidens et agreables serviteurs, pour vous en remercier tres humblement, et vous asseurer, Madame, que je n’auray jamais contentement jusques à ce que, par quelque signalé service, j’aye satislaict à tant dobligations que je vous doibs, comme plus particulierement j’ay commandé au dict s' de Quitry de vous faire entendre, avecla charge que je luy aydonnée de passer chez monsieur le duc Cazimir, mon cousin, afin de vous rendre compte de sa 'volonté, et combien de temps il demande pour marcher avecques son armée, aprés avoir —receu les cent mil escus qu’il vous a pleuÃme promettre. Lesquels, si Vostre Majesté n’a desjà envoyés en Allemaigne, je la supplie de toute mon affection les y vouloir faire porter promptement, et que
Cette copie fut remise à M. de Ségur, de M. de Ségur ; A-Double de la lettre du A alors en Allemagne i, par M. de Cl1au1:nont— Roy de’Navarre, par M. de Quîtry, à la Quitry, car elle est de Yécritureide ce der- lleyne d’Anglelerre. ~»,. nier, et porte cette anncîation, de la main... i
