Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/200

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_ . A DE HENRI IV. I, . 173 bonté que nousesperons faire de ceste victoire ; les particularitez de laquelle vous voirés bien tost dans le discours qui en sera publié ’ pour en rendre la consolation et resjouissanceplus generale à tous nos bons subjects, entre lesquelsnous vous tenons tousjours d_es plus lidelles et allctionnez. Doîmé au camp de Vernon, le XVII]': jour de mars i5go. ' ’ u HENRY. ., Q È . ( . roues?. 4 "' 1590.- 20 Manà ", W A Orig. -j Archives royales de Danemarck. Copie transmise par M, Yambassadeur de F ranceri i I A TRÈS HAULT, TRÉSEXCELLENT ET TRÉS PUiSSANT PRINCE, NOSTRE _ TRES CHER, ANTIEN ET TRES AMÉ COUSIN ._ AMY, ALLIÉ ET CONFE- ' . DERE. LE ROY DE DANNEMARCK. q Trés hault, trés excellent et trés puissant prince, nostretrés cher, antien et trés amé cousin, amy, allié et confederé, Nousavons receu avec trés grandplaisir les lettres de Vostre Majesté du "dernier jour de novembre imil cinq cens quatre-vingtz—neuf, ensemble sa response . par escript à la proposition de nostre amé et feal le s" de Bongars, que U luy avions despesché 1, lequel aussy a faict son debvoir de nous adver- tir au vray de. llasseurance que luy avés donnée de Avostre sincere intention et volonté à llentretenernent de labonne amitié et alliance ° C’est la pièce qu’on lit dans les Mé-- l 15èO, in-8° de 55 pages,'estintitulée :'Dis- moires de la Ligue, t. IV, ip. 235, et dans le cours veritable sur la victoire obtenue par le volume M du Recueil A, B, C, p. 235. Royenlabatailledortnëeprés levillageJ'Ewy, L°édition originale, imprimée à Tours en le mercredy quatorziesmejour de mars l590. ‘_ Bongars était chargé de demander de I rien decider sans le consentement des con- l'argent dans presque toute l'Allemagne. seillers d'Estat, pour lors- espars deçà de- Une dépêclie du. al ; janvier précédent, qu'il là, m’a renvoyé à la journée ordinaire, qui adressait à M. de Révol, porte : ¤Denne— se tiendra peu aprés la_Pentecouste. » (The marc, à cause du bas aage de leur prince, IM : of Thomas Egerlon, p. 309.) J ne pouvant, en choses extraordinaires, . 1 `