3_!10 LETTHÉS MISSIVES . prindrent tout le reste en un villaige entre Bonneval et Chartres ; ce P qui estvenu à propos, mon cousin le mareschal de Byron s’estant acheminé pour attaquer Chartres, comme je vous ay mande ; qui me faict croire qu’il fauldra diH’erer l’entreprinse que vous scavés, n’y ayant moyen de faire l'une et l’aultre, et voyant plus d'apparence et de fa- cilité en l'une qu’en l’aultre, dont je vous ay voulu incontinent don— ner advis et vous prier de vous rendre demain en ce lieu, s’il est possible. Vous trouverés le chemin beau et seur. Les advis que nous _ aurons demain de bonne heure, de toutes parts, nous resouldront ce ui serai à faire : et sur ce, 'e rie Dieu, mon Cousin, u’il vous . q .l P CI ayt en sa garde. Dilîstampes, le x_]° febvrier 1591. ._ HENRY. r roman. _ .l’a advis certain ue n1on cousin le mareschal d’Aumont est art M . _)' (I V P .Y de Bloys, al y a hu1ct _]0urs. Il peut estre maintenant en 'Bourgmgne. 1591.—_ 1 1 1=1âvn1En.—II‘“°. Cop. — B. B. Fonds Leydet, Mem. mss. sur'GeoiT1 oy de Vivans, p. 86. . [A MONS“ DE VIVANS.] Mons' 'de Vivans, Je crois qu'il est trés necessaire que vous en al- . liés, pourveoir à ce qui est necessaire pour la conservation de ma ville de Domme 1, et autant qu’ils sont soubs vostre charge. J’espere vous _ voirdans deux jours, qui est cause que je ne vous fais plus longue lettre çpriant Dieu, mons" de Vivans, _vous avoir en sa saincte garde. D’Estampes, le xJ° febvrier 1:591. ` HENRY. . ~ Pornan. ‘ Cette petite ville du haut Périgord (Dordogne) avait alors de Yimportance par i sa situation forte. _
