Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/1021

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DE HENRI IV. 999 gezô. Nous PTISIHCS Z1I’SOII‘ fOI’CC COI]I1IIZ4 3.U P&I’C, 3.V-CC I)B3.UCOUP de plai— sir. Je m’en vais aux promenoirs voir les lieux qui seront dignes de vous y souhaicter, je idis specialement, car generalement je vous souhaicte partout où le debvoir et le destin me me1nent'.—Soyes de retour demain, ie VOUS ISUPPIICI, et CI’OyéS (IUC j€ ID3.I]g€I’Hy plus volontiers (ICS COHIIIIZ ' que vous rapporterés de Bene que de ceulx de ce lieu. Faictes mes recommandations à vostre tante. Aimes vostre subject, qui n'adorera `IHIIIÉIIS (IUC VOUS, je VOUS le jUI‘( 3, IDEES CI’lCI‘€S 21Il'lOUI’S. JB PBCBUS VOSITG lettre arsoir, et attens Sauveterre en bonne devotion. Bon jour, mon tout. T€H&Ht VOS POIHCSSCS, VOUS estes la lus heureuse f€l'1'lI’l'lB du P P monde. Je baise vos beauxyeux un million de. fois. Ce xx_]° may. i [l598.]— 22 MM. ' Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9109, fol. 7.- , Cop.- Suppl. fr. Ms. l009 3. . À MA COUSINE LA DUCHESSE DE NEVERS. . 4 . • A Ma Cousme, Vous sçaurés par Tardieu de mes nouvelles et Pas- ' SCUFÉHCC (IUC j’ay de VOUS VOIP I)lCTl l.OSll. MHIS par CC HIOÈ VOUS SC’I`éS I-'¤"*°"'¤°°° ¤""°P°Ã¤° plets dont le style n’a pas tout à fait le M'¤, pur vos doux regards, . . _ comme un gmd mmm même caractère que ceux c1 : comparaison Mi. ms ses mmmds. ui a uie I'0 inion émise ar les auteurs (1 PP . P P _ C’“°u° ‘l’P""Y° du recueil, au sujet d’additions qui au- J“ “'°>' l’“ ‘1“““'“€“°"`° raient pu être faites après coup à cette Qu'un I'OyllUl\'lolgûIgDBI'§ ’ ,,1,,;,,,,,,,0,,,, la mm chanson. L oilre de la couronne dans le VN rw <î¤î*<>¤¤ ¤•=îa¤ =r ZU couplet termine bien', et indique comme C'°°u° ‘î°P°"y° ``'°' date probable de la lettre cette année 1598, ïm°?”dm °°°r°°°°’ ou Henri IV paraissait décidé à épouser B Pl']! O IDG VUIBIITZ • Je la tiens de Ballons, G8.I)I’l€lI8. 'ëanôâ-lq] de mon cœur. — 3 On attribue à BCNRUÈ, éVê(IUC de . 0 nt, __, _ , Mlîimî Eli, Séez, poete favori de Henri IV, cette ver- Que ne suis-je sans vie i SlUC3.UOl'l SUP UI] air COHDU, COIDPOSÉ 0“ ‘“"° °“‘°‘“' . ar le musicien Ducauro our un noël ` . . . P Y P Dans lédition des Chansons populaires du tempsde Charles IX. donnée par Delloyc, on lit d’autres cou- _‘ C'est l’ancien noni étymologique du