Cousin, vous evertuer de vostre costé, en tout ce que vous pourrés,
pour reduire les choses au chemin que tous les gens de bien desirent,
et le repos de la religion catholique et bien universel de toute la chres
tienté, à quoy, comme _j'ay volontiers fleschy ma propre conscience,
aprés avoir esté bien instruict de la verite, ce sera aussy le vrai but
auquel tendront toujours nos actions : et ne pouvant rien dire sur ce,
_ . ny sin~ l’estat de mes allaires, que vous n’entendrés encore plus parti-
culierement par la bouche de mon dict cousin, je ne feray la- presente
plus longue, que pour prier Dieu qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa
saincte et digne garde. . —
- HENRY. _
[1593. — rm Dmoûr.] —`IV“‘°. Cop. — B. B. Fontette, portefeuille VI, pièce 85. i [A M. BREGINE.] _ Mons' Bregine, Envoyant mon cousin le duc de Nevers vers Nostre Sainct Pere le Pape pour luy rendre Yobeissance qui luy appartient de ma part, le tesmoignage qui m’a esté donné de vostre suffisance pour bien faire l oraison dont cet acte d_o1t estre accompagne m_a meu de vous nommer à mon dict cousin pour vous y employer, et mander à me faire service en cette occasion, comme je mlasseure que vous J vous en sçaurés bien acquitter, ce qui vous acquerra d’autant plus de recommandation en mon endroict pour vostre advancement : priant Dieu, Mons" Bregine, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. HENRY. [1593. — rm D"AOûT. l — V‘“°. ‘ _ Cop. - B. Pi. Fonds Brienne, vol. 66, Fol. A2 verso. . - [A M. SÉRAFIN.] ` Mons' Serafin, Combien que vous aye escript par mon cousin le duc de Nevers et par le marquisde Pisany, toutesfois le 's' evesque
