q nul aultre : priant Dieu vous avoir, mon Cousin, en sa saincte garde. Escript au camp de Bouy, pres la Fere, le Vl1]ejO'll1“ de mars 1596. A . HENRY. ma wsurvirtn. . ' 2Mon Cousin, je renvoie au s' d’Incarville l’edict des tresoriers ge- i neraulx, faict suivant les articles que vous avés accordez avec eulx. [1596.] -8 MARS.-Il““°. 1 — Orig. autographe. — B. B. Fonds Béthune, Ms. 9005, fol. !1 i Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-2. ‘ A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon compere, Suivant les vostres et ce que je vous ay mandé, je _ vous envoye les s" de Heudicourt et d’Incarville, intendans de mes finances, pour adviser avec vouset aultres s” de mon conseil à ce qui est de monservice. Je vous prie de les orere comme moy-mesme de ce qu’ils vous diront, et faire en sorte que leur voyage ne soit inu- tile ; et que, sur ce que vous et eux adviserés, nous puissions dores— W navant faire un estat certain pour llentretenement de mon armée :' et remettant le surplus à leur suffisance, je vous prieray de m'aimer tousjours, et faire estat certain que je vous aime. Bonjoulï, mon com- pere ; mandés—inoy, avec des nouvelles de mes afïaires, de celles de _ mes bastimens. Ce V11']° mars, à-Saint-Sery. HENRY. ’ Posbscriptum de la main du Roi. i A U _
