i avec eulx, en vertu du pouvoir qui vous a esté dés lors expedié, ainsy u’ils vous feront lus am lement entendre ; et arce ue `°a toute CI P P P (l _.] Y confiance en eulx, et qu’ils vous `representeront mes intentions, je ne vous en cliray aultre chose : priant Dieu, Mons" du Plessis, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. De Gaillon, ce x_]° octobre 1596. . E, HENRY. ` 1596. — 1 1 ooromus. — II". ‘ Imprimé. — Mémoires de messire Philippe.; de Mornay, éd. in-/1°, t. II, p. 707. i [A M. DU PLESSIS.] _ ‘ Mons' du Plessis, Vous a1u és ce mot de moy par m' de Schoniberg, que vous cognoissés, à ce que, suivant ce qu’il vous dira de ma part, vous parliés confidemment avec luy sur l'estat des aflaires de delà; soit pour le regard de ceulx de la Religion, soit pour la paix ou la guerre en Bretaigne, ensemble de toutes aultres occasions. Quant est pour le regard des affaires de ceulx de la Religion en Bretagne, il n’a voulu prendre aucune particuliere instruction que celle qu’il tirera de vostre sage et prudent advis, sur l’asseurance que je luy ay donnée que vous ne manquerés à le luy donner tel que vous le cognoistrés estre propre pour le bien de mon service et de mes alïaires, en l’estat qu’elles se trouvent à present : qui remettant le surplus à la creance et sulli—` - sance du dict s' de Schomberg, ne vous en diray davantage que pour p vous prier de` le croire, et Dieu vous avoir, Mons' du Plessis, en sa garde. A Gaillon, ce x_]° octobre 1596. HENRY.` ` ' Iforiginal était de la main du Roi.
