Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/771

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
750 i
LETTRES MISSIVES


[1597.] —— 23 Aven,. — II". Orig. autographe. — Collection de M. F. F euillet de Conches. i A MONS“ DE VILLEBOY. i Mons' de Villeroy, .l’ay ce matin escript à ID" le maresclialrsuivant vostre advis. Je trouve bon ce que vous aves laict pour les compagnies de cavallerie, horsmis our celle de m" de Villars ; d’autant u’il P . il n'a1u*oit pas soin de la maintenir. Il faut mettre en sa place m' de P Montbason. Pour ce ui est du fort et de ce u’Erard a ro osé, 'e q q P P .l le treuve fort bon. Ta envo é Lomenie à Paris, ui vous d1ra l’ex— _ Y Y q ped1ent que j’ay pour les premiers dix mil escuz. ll faut que mes ser- viteursseflorcent de me secourir, pour cet eflect, du surplus. .l’ay peur que les compagniesde cavallerie ne soyent si tost prestes. Je re- mets à en parler davantage, à ce soir. A Dieu, Mons' de Villeroy. Ce x~x—1 1J° avril, à S‘-Germain.

HENRY.

D i [1597.]- 23 avan,. — Ill'". V _ Orig. autographe. — =-B. N. Fonds Béthune, Ms. 90lxl, fol. 3. Cop. — _Suppl. fr. Ms. 1009-2. i A MON COMPEBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon compere, Tay receu deux lettres que m’avés envoyées par ce porteur. Je suis bien aise de la prinse de Chasteau—Briand ; mais il fau-lt faire en sorte quecela ne rompe poinct le traicté, slil est pos- sible. Je suis. bien aise qu’il ne se soit rien trouve contre l’evesque de Senlis. J’ay prins ce jotudhuy une medecine, qui.m’a tant aH’oibl_y qu’il n’est pas possible de plus. Ai Dieu, moircompere. Ce XXl]‘]° avril, à St-Germain. _ _ HENRY.