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d'icelle,, nous esperons que Vostre dicte Saincteté se disposera d’au— tant plus volontiersà nous. donner ce contentement, qu’elle entendra . ` par nostre tres cher cousin le duc de. Luxembourg et par l’evesque de.Rennes 6, que, la dicte abbaye, extremement ruinée, demeurant es mains de personnes si pleines de religion, en recepvra grande restau- ration et accroissement ; de quoy nous nous remettons en eulx d’inl`0r— mer plusparticulicrementvostre dicte Saincteté, tant pour le regard de la dicte dispense que pour Yexpedition gratuite de ses bulles et provisions, dont nous prions et recquerons derechef Vostre dicte Saincteté autant. et sy- allectueusement. Et si nous nous en pouvons revancher, nous prendrons peine de le. faire par tous les debvoirs, vous complaire et rendre toutes nos actions agreables, ainsy que nostre dict cousin le duc de Luxembourg et l’evesque de Rennes expo- seront plus particulierement à Vostre dicte Saincteté. Nous prions Dieu, Tres. Sainct Pere, qu’il veuille iccelle Vostre Saincteté conser- ver longuement et heureusement au gouvernement de sa saincte Eglise. . _Vostre tres devot et affectionne fils, _ . HENRY.` ' 1597.- 1°’ MAI. Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9061, fol. 37. ` Cop. — B. N. Fonds Fontanieu, Ms. P. 73, fol. 61 verso ; et Suppl. fr. Ms. 1009-2. v E [AU CONNÉTÀBLE.] M0_n Cousin, Ce porteur nfestant venu trouver icy de la part des U habitans de Villeneul’ve—le-Roy, pour me faire entendre la raison qu’ils ont eue d'entreprendre de ruiner le pont qui va de la ville à la tour du dict Villeneuf’ve—le—Roy, et de desirer d’0ster aussy celluy qui sort de la dicte tour hors de la dicte ville, je vois bien qu’il y doibt avoir eu quelque querelle entre ceulx de la garnison de la dicte tour et I ‘ D'Ossat, nommé à cet évêche dès 1595, avait été sacré à la fin de i5`g6.
