Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/796

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i"`. DEîH EN.BI TV." 775 dict Compiegne?. tout ce 'qui se recevra cyaaprés ou d esiprests.ou 1des ofiices nouvellement creez, `âmesure que l’on' recevra ; jusques à1_vingt— huit mil livres ;;à quoyvje vous prie donneno1gdre et.=;tenir là main'à Yadvancement des dicts prests. Je pars presentement pour alleràBeau- — vais, et seray demain de bonne heure à Cuvilly, où mon cousin le ma¢ reschal me doit venir trouver, Je vous feray souvent part de mes nou- velles._ . . Continués d’adviser' à to11t ce qui sera à faire pour le bien de mon . service. Je prie Dieu, sur ce, qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa saincte garde. Escript à Pontoise, le n1_]°_iour :de juin. 15gj. C — `_, HENRY. J à ' - i - . rorina. I ' . . . 1.597.- li .JUlN*. -V*“t. i Cop. -;‘B.'N‘.'Suppl. fr. Ms. 1009-2. (D’aprs Yancien manuscrit de MAT de Mandajors.} i - [AU CONNÉTÀBLE.] A L Mon Cousin, Vous verres, par la lettre de Lentoz, ci-_j oincte, comme le siege de Monthalina esté levé, par le delivoir qu’ont faict les assie- gezide se deH’endre et la perte qu’0nt 'faict les ennemys. Toutes les forces qu’ils'ont à la campagne estoientau dict siege. J’ay receu let- tres de mon cousin le mareschal de Biron, par lesquelles il mande ` qu’il continue de fortifier le logis ou est à present mont armée, et se _ loue tort du debvoir que faict l’infanterie, auquel il m’escript qu’il sera fort diflicilede lacontenir et d’en‘ tirer service cy-aprés, si elle n’est payée. Qui me faict vous prier de travailler continuellement avec . ceulx de mon conseil çpour faire le fonds du payement de ma dicte ar- mée pour deux mois, tant des prests que d’aultres moyens qui se pour- ront trouver. Vous jugés assez, mon Cousin, combien ce 'secours m’est nécessaire, sans lequel Amon armée ne peut subsister ; qui me 'faict . esperer que vous et ceulx de mon dict conseil rechercherés tous moyens pour faire le. dict I’onds ;Jlespere=voi1:=, demain, mon. dict .00usin le ma- .