Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/854

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

_ DE HENRI IV. 833 rests, comme il me semble avoir a ris ar lettres du s' d’Incarville P PP _ qu’ils sontî, prenés la d1cte somme de ceulx que vous aves assemblez pour le sixiesme mois de mon armee, et me fenvoyés en diligence avec dix ou douze mil escuz 0tu* fournir a infinies des enses ressées et P inevitables qui se presentent Journellemàent, et pour auxquelles pour- \: I a I U ` veoir jay este contramct d’emprunter de madame de Beaufort? quatre mil escuz qu'elle avoit faict apporter icy, lesquels je vous prie faire rendre par delà au s' Pujet, a la reception de la presente, car je l’ay ainsy promis et desire qu’il n’y ayt point de faute°; vous priant de croire que les dicts deniers ont esté b1en employez, comme seront. tous ceulx que vous nous enverrés ; car il ne s’en debourse rien que . par mes commandemens, et en feray voir la despense au s' de Rosny quand il sera icy. Vous en aurés aussy festat au premier jour. Pourvoyés semblablement au payement de fextraordinaire de mon cousin le Connestable, car il ne peut s’entretenir icy sans cela, et vous sçavés combien sa presence y est necessaire. Je desire aussy que vous faciés bailler quelque chose à mon nepveu le duc de Nevers sur sa pension, aflîn qu’il puisse partir et aller recueillir en Champagne les _forces que j'ay commandé-y estre assemblées pour estre amenées icy ; car ce renfort n'est à mespriser, et le puis avoir à propos simon dict nepveu fait diligence, comme il m’a mande qu’il fera s'il est — secouru de la dicte pension, laquelle luy sera bien employée. Il est necessaire pareillement que vous cbangiés fassignation que vous aves donnée au s' d’Escluseaux pourpayer sa garnison, d’autant qu’il m’a demonstré qu’il ne peut garder sa place elle n'est payée, ce qu’il dit ne pouvoir faire des oilices du parlement de Paris nouvellement creez, sur la vente desquels vous favés assigné, parce qu’il ne trouve . . Il en avait la certitude ar lettres con- tlues. Du tem s même de_M. d’O, lors ue . P P 9 Bdentielles de Bosn . tous les services étaient en souffrance, à- _ Y ~ ’ Gabrielle d’Estrées était devenue du- commencer par ceux de la maison du Boi, chesse deBeaufort lemoisprécédent.Voyez jamais la maîtresse en titre rféprouvait ci après, au g mai 1598. le moindre retard. C`était une tradition de 3 Ces recommandations étaient super- la cour des Valois. _ x.n—mu :s ma imam iv.—1v. r ioô