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LETTRES MISSIVES

fois s’assembler ny partir de leurs maisons qu’ils, n’ayent autre. mande- men e mo our me aire service en ces e occasion,. ui es une es 1 d y p f ‘ *1 q 1 d -plus importantes qui se puisse presenter pour le bien et repos de . ces s a, e que je recognois ray aussy a en oic e ce x qui my 1 E 1 1 1 1; ‘ 1’ dr 1 d 111 ’ eron arois re eur a ec ion :" rian ieu, ons e our ei e, ftp tl Hit ptD M*dBd11 qu’il vous ayt en sa saincteet digne garde. Escript à Paris, le v11_]°_jour de janvier 1598. I HENRY. ne mrurvrrrn. 1598. — 10 JANv1Er.. — 1**. Imprimé. - Mémoires de messirc Philippes de Mornqy, in l ;°, t. II, p. gog, et Vie des anciens sei- gneurs de Momay, par RENÉ DE Mommr on LA VILLETEBTBE, I `faris, _1689, in !t°, p. 226. . [A M. DU PLESSIS.] Mons' du Plessis, Je vous escris ceste lettre à art, our me condou P P loir avec vous de la mort de vostre bon frere le s' de Bub, ue `°a Y (l J Y perdu lorsque je faisois plus grand estat de luy faire de l’honneur, et le mettre en besogne pour luy faire recueillir le fruict de ses labeurs et services ; j’en ay tous les regrets du monde, car je l’aimois unique- ment pour ses vertus et pour son aflection à mon service ; et faut que je vous die, autant pour vostre consolation que pour me satisfaire moy- mesme, que j’estime n’y avoir moins perdu que vous, vous priant de recevoir ce tesmoignage que je vous rends de la bonne volonté que je luy portois, et de Pennuy que fay de sa mort, pour allegement du vostre, que e ressens encores avec le mien, autant que le merite vostre lidelité. et affection à mon service ; vous asseurant que, s’il y avoit ° lieu d’adjouster quelque chose : à la. bonne volonté que je vous ay tousjours portée, je le remplirois. de celle. que j’avois promise à vostre dict irere. Mais _j’ay plustost besoing qu’il se. presente occasion de la vous confirmer par eflect, que vous n'avés besoing de ce secours ; partant il= ne me reste. qu’a vous prier de conserver vostre personne