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voulu diilerer davantage à vous faire sçavoir que j’en ay receu tres grand plaisir et contentement, esperant que Dieu vous donnera au- tant de santé et de force que je vous en desire pour accompagner et mettre en œuvre vostre bonne volonté et capacité à me servir en telles et toutes autres occasionsl. Au moyen dequoy jevous prie de donner ordre à vos ailaires domestiques, et ceulx de mon conseil pourveoi- ront aux instructions et deniers necessaires et accoustumez pour vostre expedition, allin que le 'tout vous "soit envoyé à propos pour pouvoir partir dans la’Sainct-Jean, qui est le temps que vous avés escript au . s' de Villeroy que vous pourrés estre prest à ce faire : priant Dieu, Mons’ de la Mothe F enelon-, qu’il vous tienne, en sa saincte et digne garde. Escript à St-Germain en Laye, le 1_]°' jour de may 1599. _ ' i ‘ 'HENRY. ‘ 4 na mnurvitts, ` W 1599-. — 8 MAI. . d A Orig. — Manuscrit appartenant à M. l’abhé Caron, à Versailles. TA MON COUSINTLÉ CARDINAL DE JOYEUSE. ` Mon Cousin, Je feray response par celle-cy à la- lettre que vous . m’avés escripte à part, le xxv11° du mois de mars, parlaquelle jlay esté U tres aise d'entendre ce que vous avés negotié avec Nostre Tres Sainct Pere, depuis vostre premiere audience ; et comme j’avois sceu, de- _ vant la reception d’icelle, les bons otnces que vous aviés faicts pour favo- riser la` promotion des cardinaulx et y faire comprendre ceulx que je luy avois recommandez, aussy n’ay-je attendu `à vous en remercier, que jlaye receu vostre dicte lettre, comme vous aurés cogneu par les t lettres que je vous escripvis le —v11° et Vll1B dll`1'HOlS passé, auxquelles i Cette espérance ne se réalisa pas : Ber- forces', tomba malade en route, et mourut hand de Salignac, dont le courage et le à Bordeauîn le 13 août, âgé de soixante dévouement n’avaient pas consulté les _et seize ans..Voyez ci dessus, t. I, p. 136;
