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DE HENRI IV.


p [1599.] — 23 ooronms. Orig. autographe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9072, fol. 1. J A MON COMPQBE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon com ere, Auss tost ue ce entilhomme est arrivé rés de mo ' . J, Cl J avec la vostre, je le vous ay reclespesché, bien instruict de ce qui est de mon advis sur ce pour quoy vous me l’avés envoyé. Je desirerois bien que l’accord se passast en la forme que je le vous ay mande 1, pour les raisons qu’il vous dira ; mais s’il ne se peut, je trouve bon que ce soit selon vos advis, comme hier je le mantlay à vostre nepveu par courrier, despuis le partement de m' le Premier?. Bonjour, mon compere. Ce sabmedy à six heures du matin, ë¤Ã11]° octobre, à Fontai- nebleau. . ” _ HENRY. ‘ Henri IV avait ris soin de rédi er fense, de l’oublier, et u’ils demeurent P 8 ‘1 lui-même les termes de cet accord dans aniys ii un écrit de sa main, dont l`0riginal,. qui «M. le Grand dira, se tournant vers nous a été conservé, est ainsi concu : m' le Connestable et mareschaux z v « M. le prince de _Joinville dira à M. le « Messieurs, trouvés-vous que je sois sa- ` Grand : A tisfaiet, car j'aimerois mieux mourir que `« Qu’il l'a blessé mal à propos et avec de prejudicier à mon honneur. p advantage. « M" le Connestable et mareschaux dis « S’il eust eu une espée, il s'en fust em- ront : Oui, puisque vous le trouvés ainsy. pesché et luy enst faict courre autant de « Sei tournant vers m' le prince de Join- fortune qu’il l'eust peu faire à luy : ville, il dira : Puisque vous m’en priés, «Que s’il estoit en sa place, il se con- je oublieray ceste ollense et demeureray tenteroit de pareille satisfaction ; ‘ vostre serviteur. nt i « Et sila compagnie luy ordonnoit d'en (B. N. Fonds du Puy, mc. lt07, fol. tit.) M (‘= W g i ‘ ‘ = "°** « c ...-t-a.. le P...;.;..; é...,... <~ Le pr1era luy remettre la Yaulte ou ol`- ¤.m rans ne mmm uv.-v. :3