Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/254

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l DE HENRI I»V_.' ‘ 229 " n'y manquerés, jene l’eray>ceste-cy plus l’ongue, _que pour prier Dieu qu’il vous nayt en sa saincte garde. Escript à 'Fontainebleau, le xxv11]° _ ' jour d’avril |6qo. ., ‘ ; _ . »~ l' _` î- on imurvinte. W, '[l60(l ;]_+3MAI.'_ _' I Q ' Olrig. autographe ; — Biblioth. iuipér. de Saint-Ilétersbourg, lvlss. 837,, lettre 47. Copie transmise ` L __ - - I ( par MÃ, Allier. I `. - ' ° l ‘A MONS“ BELLIEVBE, - p ’, l cnsucntnma ne rn_m ;m. _— \, Mons' le chancelier, Estant à Lyon, je v'ous fisentendre ce qui es- ° I I . . ( l o t01t cle ma volonte toucliantle proces que le s" de Montbrun, qui m’a _ tousjours bien et fidellement servy, a- en monconseil contre certains marchands de ma dicte ville de Lyon,. pour raison de quelques mar- chantlises qu’ils perdirent'durant les troubles, _' et dont le S' de Mont ; brun a obtenu abolition de moyl ; et pour ce que jewîonti-nue enla l mesme volonte pour luy, que Je la vous fis paro1stre au dict Lyon, __]e Vous fais ce mot pour vous prier de toute mon affection, _Cle vous em< ployer de toutîvostre pouvoir pour, enjugeant le `procés, mettre hors Q d’interest et destiliarger le dict s' de Montbrun, puisque delà despend non seulement la ruine du. dict ; s" de. Montbrun, mais aussy cl’aultres gentilshommes que fairne, etspour lesquels vous me ferés- service tres agreable de vous €1'DPlOy€P,«î PQUD', l€S’€lI'l_'SOI’lllI" conlormement ala promesse que jeleurr en ay faicte : et surce, Dieuvousayt, Mons" le chancelier, en sa’_sainctegarde. `Ce n_]° may, _à Fontainebleau. —_ . . . _Q~`g<> x' . - . HENRY. . .’ Ln demandant reette abolition, M. ide l'expi ession ou Roi, dont Yintervention, Montbrun avait 'dû reconnaître implicite- en 'cette circonstance comme dans _tant inentïdou peut-être.1nêin'e très explicite- d’autres lettres aucliancelier, est uu. des , nient, qu’il uavait contribué à enlever les abus de ce tempsles plus graves, `et quon Iîl3l‘Cl’l3.D.CllSCS CCS II1€lI’Ch3.H(1S de LyOD D8 S3UI`ûlll BSSüyCI‘ (le jl.lSÈlllCI‘ Cl} 3l.lC\.`lI’lG se plaignaient d’avoir perdues, suivant façon. È? A r