octroyant et faisant, a ceste fin, expedier toutes les bulles, dispenses et provisions apostoliques qui luy seront, necessairesg, suivant .les memoires et supplications qui en seront nresentées sa dicte Saincteté, et vous me ferés service tres agreable rpriant Dieu, lVIons’ de Sillery, qu’il vous tienne en sa ’saincte garde. Escript a Paris, le xxif jour de may 1600.
de Neuville
[1600.] — 23 MAI.
O1 igi— Arch ; des Médicis, liégation f’rançaîse,’iiasse 3. Envoi de M. le ministre de France _
" l, E alillorence. i ’ A A y
A MoN COUSIN LE GRAND DUC DE TOSCANE.
Mon Cousin, si j’ay’receu tres grand plaisir-, .comme__i’ay faictfde \ la resolution de 1non mariage pour le contentement que jîen attends,,, je ne l’ay pas eu moindre d’entendre,. par‘_ce_-que mon ambassadeur mien a escript et ce que Ilalincourt fn’en a represente et en ay aussyr I remarqué par. la ’lettre que vous m’avésI escripte par luy, Yailection. avec laquelle le itout a_ esté conduict et_conclud de vostreqqart ; de _. quoy je n’ay voulu diilerer davantage a vous remercier, _et par mesme- _ moyen, vous asseurer que vousavés acquis, en ce faisant, liamitié d’un prince qui espousera à jamaisvostre alliance, vostre erosperite- et celle des vostres comme la sienne propre, ainsy que vous dira ce É mien ancien et coniident serviteur Frontenac, _que fenvoie vers vous . erprésçpour vous visiter en mon nom sur ceste occasion, etvous por. ter la dicte asseurance. Par tant, je, vous prie luy adjouster foy comme
deliourbon, ainsiquau projet de Tétalslis-
dant le temos qui s`époula entre son avé-
sement d’un patriarche, ce qui—aurait pu
nement au trône de France et son abjura-
amener le schismc.Ce‘ft1t d’après les vues
tion.
et les conseils, de l’évêque de Bayeux que
’ Le cardinal d’Ossat fut pourvu` de cet
Henri IV établit le mode de nomination
évêché, en consistoire, le mois suivant.
aux évêcliés et aux divers bénéfices pen-
