' q DE `HENRI IV. 297 vous dirois que je le suis extremement de vous ; mais j’aime mieulx ` le vous tesmoigner ai lieu où- il nly aura tesmoing que vous et moy. A i Bonjour, ma maistresse, je linis, baisant cent millelois vos belles mains. Ce llje septembre. — - i . ` - i . `1600'.— 7 SEPTEMBRE. —I’f’. _ . Orig. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9080, fol. 5g. i _ P Cop.—Suppl. Fr. Ms. 1009-2. - - q ï . [AU CONNÉTABLE.] I i -i I Mon Cousin, Jlay ordonné aux liuicticompagnies qui estoient en ` garnison en Languedoc, Dauphinéet Provence, de faire es'dicts pays l leurs recrues jusques à cent hommes, au lieu qulelles nlestoient com- _ posées que de trente—cinq hommesrchacune. De quoy_je-vous ay bien vouluadvertir par ceste lettre et vous pri_er faciliter.et favoriser, en ' ce qu’il seraipossible,~la levée des dictes recrues qui se pourront laire en l'estendue de vostre gouvernement ; de sorte que feu puisse estre _ assisté en ceste armée de Savoye, où je les ay destinées ; et je le tien- drayà service tres agreable : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt, ` en sa saincte garde. Escript au camp de_Chamox, le vif jour de sep- tembre i_6o0. I i . V — — . i -_ l ne Nrurvrrtn. ` _ 1600. — 7 SEPTEMBRE. - Ilm. E U i. . _, Orig.i— B._N. Fonds Béthune, Ms. 9080, fol. lig._ I il i I Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-2. l [AU CONNÉTABLE.] i . _ 'Mon Cousin, Ce porteur s’estant presenté pour vous aller trouver, j’ay_bien voulu vous faire sçavoir par ceste lettre que depuis le par-` tement du chevalier, tout ce-que_ nous avons peu faire a esté de trai- ner le canon jusques au pied de la. montagne sur laquelle il le faut ` unrrnes on mami : xv. —v. 38
