lill I - LETTRES MISSIVES ' outre cela commandé à m' de Villeroy, qui s’en alla hier d’icy, de vous en parler, et resouldre du' moyen de le faire executer. Berengen m’a parlé de la deftense des traictes de bled, de quoy j’ay donné charge au s' de Villeroy de communiquer avec vous. C'est tout ce que vous aurés de moi pour response à la vostre, pour prier Dieu vous avoir en sa garde : Ce v_]° 2 octobre', Monceaux, au matin. . ' T HENRY. [1598.] — 6 ocronns. — Ilm. Minute. — B. N. Fonds Du Puy, Ms. 1107, fol. 30 recto. i . A, — Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3. '[A M. DE LA GRANGE-LE-ROY.] 1 _ _ Monsf de la Grange, La crainte que jay de voir rompre mes ate- liers de Fontainebleau fait que je mande à m' de Rosny d"emprunter trois mil escuz et de les vous faire mettre entre les mains ; à quoy je m’asseure qu’il ne manquera nullement, comme vous ne ferés . de les allerrecepvoir, pour aprés les distribuer aux ouvriers et les faire filer de façon que cela coule le plus long temps qu’il sera pos- p siblè. Je seray tres aise aussy de sçavoir ce qui y aura esté faict des- puis mon partement : et ceste-cy n’estant à autre fin, _ie, prie Dieu, _ Mons' de la Grange, qu’il vous ayt en sa saincte garde. R . HENRY. ° Les OEcon0mies royales datent cette voyonsci-après, au g octobre, dans une A lettre du 5 mars. Mais, ce doit être une des lettre dont la minute nous est parvenue, erreurs de détail dont fourmille —cet ou- qu'il avait recu la veille une lettre du S, vmge, puisque le Ptoi commence par ac- par conséquent écrite et reçue le même cuser réception de la lettre de Rosny en jour. Il doit en être de même ici, comme date du 5, qu’il a reçue la veille. Nous ci-dessus dans la lettre du 2 octobre.
