.
ceste fois : priant Dieu, mon Cousin, vous conserver en sa saincte et digne garde. Escript à S*-Germain, ce xxf mars 1602.. ' i ` ‘ HENRY ; _i V 4, — roncur. ' . i 1602. — 2~1 Mans. — Ilm". i . Cop. — B. N. Fonds Dul Puy, Ms. 89, fol.'67 verso. i . P . [A M. DE BETHUNE]., A Mons" de Bethune, Puisque nous n’avons pas peu vaincre ma Sœl1I‘ la . duchesse de Bar, avec tous noseilorts et moyens, ainsy que je vous ay escript mes precedentes, son mary, mon beau-frere, estcontrainct de recourir derechef à Nostre Sainct Pere-, a_fHn d°0btenir de sa bonté la dispense de laquelle il a hesoing pour delivrer sa conscience de Tinquietude et anxieté en laquelle il vit et languit. Cest `doncques l’occasion pour laquelle il envoie presentement par delà le s’ de Beau- vaul, porteur de la presente ; en quoy je veux que vouslassistiés en mon nom envers Sa Sainctete, _ le cardinal Aldobrandin, et tous cem ; - que hesoingsera, comme chose que _j’ay tres à cœur etjqtü importe grandementuà mon repos et honneur, à ce que Sa Saincteté soit con- tente de nous octro er la dicte race, our nostre 'consolation com- _ Y, 8 P I _ mune, et eviter les inconveniens qui na1stroient du desespoir auquel le rel’us.d’icelle jecteroit mon dict beau—frere, avec ceux- qui sont in- teressez en ce faict avec luy, ainsy que vous doibtrepresenter le dict s' deBeauvau. Sçachés doncques que vous ne me pouvés faire service ' plus agreable que dembrasser et favoriser cest affaire avec toute la P chaleur et affection que vous y pourrés apporter. Vous scavés cequi slest assé `us ues ic, a ant esté am lement advert des mo ens ue P J Cl Y A Y P Y _Y (l l’on a tenus pour convert1r’l’espr1t de ma dicte sœur, en quoy-je n'ay ' M. de’Beauvau, premier gentilhomme auparavant. Voyez la no_te de la page sui-‘ de la chambre du duc de Bar, avait ac- vante, et ci-dessus, tome IV, page 288, ~ compagne son maître à Home deux ans note 3. ' ‘
